Bachar el Assad ou le veto du « chacun son protecteur »

La création de ce qui ne sera hélas presque qu’une vulgaire machine de conspirateurs – qu’on appelle pudiquement l’ONU-, a été dictée par un mobile de paix et de justice. Après 67 ans de sa création, l’impression est que cette vieille horloge aux aiguilles crépitantes de vétusté, ne sert qu’a entretenir l’injustice, mieux, à la légitimer par ce réflexe pervers appelé « le droit de veto ». L’organisation des Nations Unies, devait,…